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1.
Infectious Diseases Now ; 51(5):S51, 2021.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-1347626

ABSTRACT

Déclaration de liens d’intérêts: Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.

2.
Rev Neurol (Paris) ; 177(3): 275-282, 2021 Mar.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1078105

ABSTRACT

BACKGROUND: Neurological disorders associated with SARS-CoV-2 infection represent a clinical challenge because they encompass a broad neurological spectrum and may occur before the diagnosis of COVID-19. METHODS: In this monocentric retrospective case series, medical records from patients with acute neurological disorders associated with SARS-CoV-2 infection from medicine departments of an academic center in Paris area were collected between March 15th and May 15th 2020. Diagnosis of SARS-CoV-2 was ascertained through specific RT-PCR in nasopharyngeal swabs or based on circulating serum IgG antibodies. RESULTS: Twenty-six patients diagnosed with SARS-CoV-2 infection presented with neurological disorders: encephalitis (N=8), encephalopathy (N=6), cerebrovascular events (ischemic strokes N=4 and vein thromboses N=2), other central nervous system (CNS) disorders (N=4), and Guillain-Barré syndrome (N=2). The diagnosis of SARS-CoV-2 was delayed on average 1.6 days after the onset of neurological disorder, especially in case of encephalitis 3.9 days, encephalopathy 1.0 day, and cerebrovascular event 2.7 days. CONCLUSIONS: Our study confirms that COVID-19 can yield a broad spectrum of neurological disorders. Because neurological presentations of COVID-19 often occur a few days before the diagnosis of SARS-COV-2 infection, clinicians should take preventive measures such as patient isolation and masks for any new admission to avoid nosocomial infections. Anti-SARS-CoV2 antibody detection in RT-PCR SARS CoV-2 negative suspected cases is useful to confirm a posteriori the diagnosis of atypical COVID-19 presentations.


Subject(s)
COVID-19/complications , COVID-19/epidemiology , Nervous System Diseases/epidemiology , Nervous System Diseases/etiology , Adolescent , Adult , Aged , Aged, 80 and over , COVID-19/psychology , Female , Humans , Male , Middle Aged , Nervous System Diseases/virology , Paris/epidemiology , Retrospective Studies , SARS-CoV-2/physiology , Young Adult
3.
Non-conventional in French | WHO COVID | ID: covidwho-726732

ABSTRACT

Introduction Le phénotype du COVID-19 est très variable. Identifier et caractériser les populations à risque d’évolution défavorable est cruciale. L’objectif de cette étude est de décrire l’infection COVID-19 dans une population de transplantés rénaux (TR). Matériels et méthodes Il s’agit d’une étude rétrospective monocentrique des TR atteints de COVID-19 de février à mai 2020. Les cas confirmés par PCR et les cas possibles (clinique et lésions pulmonaires scanographiques compatibles) ont été inclus. La mortalité a été comparée avec celle de la population générale non transplantée dans le même centre. Résultats Parmi 1004 TR, 34 dont 26 hommes ont été atteints de COVID-19, avec un délai médian de 6 ans [2,2–10,3] après la transplantation. Deux patients avaient été transplantés dans les 6 mois précédents. L’âge moyen était de 61 ans [23–81]. Les principales comorbidités étaient une hypertension artérielle (31 cas, 94 %), une cardiopathie (16 cas, 47 %) et un diabète (14 cas, 41 %). Le traitement de maintenance associait les inhibiteurs de la calcineurine, les anti-métabolites et les corticoïdes chez 22 patients (65 %). Le débit de filtration glomérulaire estimé était de 40mL/min/1,73 m2 [32–52]. Neuf patients (26,5 %) avaient déjà présenté des complications infectieuses pulmonaires après la greffe. Trente patients (88 %) ont été hospitalisés avec un délai médian de 7,7jours [3–9,5] après le début des symptômes. Les signes cliniques initiaux principaux étaient une fièvre (n=28,82 %), une toux (n=23, 68 %), une dyspnée (n=16, 47 %) et une diarrhée (n=12, 35 %). À l’admission on observait une lymphopénie chez 18 patients (53 %), une CRP médiane à 84mg/L [31,2–99,8] et une PCT médiane à 0,25μg/L [0,19–0,4]. Sept patients sur 18 (39 %) présentaient une atteinte parenchymateuse pulmonaire sévère (plus de 50 %) au scanner. Les traitements spécifiques comprenaient l’hydroxychloroquine (n=6, 18 %), l’association lopinavir/ritonavir (n=1, 3 %), les anti-IL6 (n=2, 6 %). L’arrêt d’un des immunosuppresseurs a été effectué chez 20 patients. Une forme clinique sévère (admission en réanimation ou oxygénothérapie ≥ 9 L/min) est survenue chez 20 patients (61 %). Le délai d’admission en réanimation était de 2,5jours [0–6,5] depuis l’hospitalisation. Vingt patients (61 %) ont présenté une insuffisance rénale aiguë dont 6 nécessitant de l’hémodialyse. Quinze patients (44 %) sont décédés dans un délai de 11jours [7–16] après l’hospitalisation. Le taux de décès chez les patients hospitalisés pour COVID-19 non TR était de 15,4 %. Conclusion Les patients transplantés rénaux sont une population à haut risque de forme sévère de COVID-19 avec un taux de mortalité approchant 50 % dans cette étude. Le renforcement des stratégies préventives et de dépistage semble primordial chez ces patients immunodéprimés et à fort risque cardiovasculaire.

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